James Lee Burke

Encore une belle journée tranquille à dévorer Une saison pour la peur de James Lee Burke. Beau nuages en fin de journée, espoir de pluie... ?

Depuis le temps que je vous parle de cet auteur voila un petit exemple des reflexions de ses heros

« Discute autant que tu veux. Quand tu traites avec les fédés, tu traites avec des mecs convaincus que ce qu’on trouve imprimé sur les circuits de puces électroniques, c’est les shémas de pensée. En outre, il puent le bain de bouche. Est-ce que t’as jamais fait confiance à un mec qui sentait le bain de bouche ? »

Ou encore

« Tony a raison. C’est nous, le grand bordel, à nous baiser les uns les autres. Nous la race humaine. »

Mon voisin continuant à faire s’activer ses bulldozers et excavatrices, j’ai convoqué, demain matin, le kapela desa (le maire local), à constater qu’il y a un problème de limite de propriété et qu’il faut le résoudre en faisant stopper les travaux. Si il joue au con genre « je vais voir ce que je peux faire » c’est à dire rien (ce qui est fort probable car il a été prévenu il y a deux semaines déjà sans bouger son cul), je file chez le Bupati et le police de la construcion (SAT POL PP). On va finir par trouver une administration (le pays croule sous les focntionnaires) qui vérifie la validité des travaux, il n’a même pas de permis de construire). De toute façon ce n’est pas lui qui décide, seul le cadastre (BPN) peut revenir délimiter la parcelle. Je déteste ces méthodes de forcing à l’australienne, à la cow-boy du bush sauvage. Ce n’est pas le Far West ici (bien que parfois...).